Abstract:
Raoultella ornithinolytica is belongs to the family of Enterobacteriaceae, a Gram-negative encapsulated aerobic bacillus associated with bacteremia and urinary tract infections. As biofield therapy is increasingly popular in biomedical heath care, so present study aimed to evaluate the impact of Mr. Trivedi’s biofield treatment on antimicrobial sensitivity, minimum inhibitory concentration (MIC), biochemical study, and biotype number of multidrug resistant strain of R. ornithinolytica. Clinical sample of R. ornithinolytica was divided into two groups i.e. control and biofield treated which were analyzed for the above parameters using MicroScan Walk-Away ® system on day 10 after treatment. Antimicrobial sensitivity assay results showed a significant increase (60.71%) in sensitivity pattern of antimicrobials i.e. changed from resistant to susceptible while 10.71% of tested antimicrobials changed from intermediate to susceptible as compared to control. MIC results showed a significant decrease in MIC values of 71.88% tested antimicrobials as compared to control.
Biochemical reaction study showed 15.15% alteration in different biochemical such as cetrimide, cephalothin, kanamycin, and ornithine after biofield treatment as compared to control. A significant change in biotype number (7775 4370) was also observed with organism identified as Klebsiella oxytoca after biofield treatment as compared to control (7775 5372). Overall results conclude that biofield treatment could be used as complementary and alternative treatment strategy against multidrug resistant strain of R. ornithinolytica with respect to improve the sensitivity and reduce the MIC values of antimicrobials. Hence, it is assumed that biofield treatment might be a suitable cost effective treatment strategy in near future, which could have therapeutic value in patients suffering from multidrug resistant pathogens.
Raoultella ornithinolytica est une espèce bactérienne à Gram négatif du genre Raoultella, précédemment classée dans le genre Klebsiella sous le nom de Klebsiella ornithinolytica.
Les bactéries de l'espèce R. electrica sont des bacilles Gram négatif, anaérobies facultatives, non mobiles et ne sporulant pas[4]. Leur largeur est de 0,3 µm à 0,4 µm pour une longueur de 3,0 µm à 6,0 µm. Elles sont capables de croître sur gélose à une température optimale de 37 °C mais aussi à 41 °C. Contrairement à Klebsiella pneumoniae, elles sont capables de croître à 10 °C et à 5 °C. Ces bactéries sont positives au test Voges-Proskauer. Elles sont capables de produire de l'histamine contrairement aux bactéries des complexes K. pneumoniae et K. oxytoca[5].
Initialement décrite comme bactérie du genre Klebsiella, elle a été reclassée dans le genre Raoultella en 2001 à la création de celui-ci[3],[6],[7]. Cette espèce a reçu l'épithète ornithinolytica (or.ni.thi.no.ly.ti.ca. N.L. neut. n. ornithinum, l'acide aminé ornithine; N.L. fem. adj. lytica, capable de dissoudre; de Gr. fem. adj. lytikê, capable de dissoudre; N.L. fem. adj. ornithinolytica, dissolvant l'ornithine) pour évoquer sa capacité à lyser l'ornithine. La souche type de cette espèce a été officiellement déposée dans les collections de cultures bactériennes sous les numéros ATCC 31898, CCUG 26769; CIP 103364; CIP 103576; DSM 7464; JCM 6096; NIH 90-72[8].
Des comparaisons phylogéniques entre les gènes codant l'ARNr 16s et rpoB de cette espèce et ceux d'autres espèces de Klebsiella ont suggéré une classification dans un nouveau genre, Raoultella[3]. Cette reclassification a été validée et adoptée[6]. D'autres comparaisons phylogéniques entre les gènes codant l'ARNr 16s, rpoB, gyrA et parC lors de la publication de R. electrica ont démontré l'appartenance de R. ornithinolytica au genre Raoultella et confirmé la classification de ce genre dans un cluster distinct des Klebsiella[9].
Drancourt et al. placent l'espèce dans le genre Raoultella lorsqu'ils décrivent celui-ci, sur la base des gènes de l'ARNr 16S et rpoB, en 2001[3],[10]. De nombreuses analyses phylogénétiques montrent par la suite que ce dernier genre est niché en plein milieu des Klebsiella et conduisent à proposer l'abandon de ce genre[10],[11],[12],[13]. Cependant d'autres analyses phylogénétiques dont celle de la base Genome Taxonomy Database[14], base intégrée avec le Bergey's Manual of Systematic Bacteriology comme faisant autorité pour les génomes bactériens, concluent au maintien des Raoultella et à la présence de deux groupes génomiques distincts pour les Klebsiella[14],[15],[13]. Depuis, la LPSN, faisant autorité en nomenclature bactérienne, n'a pas retenu la nouvelle combinaison proposée et maintient le nom de Raoultella et celui de Raoultella ornithinolytica comme correct name[8],[16].
Elle a été isolée à partir d'échantillons de sols et d'eaux[4]. Cette espèce a aussi été isolée à partir d'insectes, de poissons, de tiques et de termites[4].
Cette espèce est reconnue comme une des Raoultella les plus retrouvées comme pathogènes chez les humains[5] notamment chez les individus avec des comorbidités[4].
Parmi les pathologies les plus communément causées par l'espèce R. ornithinolytica, on retrouve des infections gastro-intestinales et des infections hépatobiliaires[4].
Raoultella ornithinolytica est une espèce bactérienne à Gram négatif du genre Raoultella, précédemment classée dans le genre Klebsiella sous le nom de Klebsiella ornithinolytica.